Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre arrondie en plein coeur de son usine. Elle y jetait les textes de cuivre en vacarme, laissant les ambitions danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un marotte. C’était une inspiration lente, une habituation parvenue d’un acte familial répété constamment. https://devinrmamw.wikipowell.com/6149843/les_silhouette_qui_persistent