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Les lignes qui persistent

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Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre orbite en plein coeur de son usine. Elle y jetait les documents de cuivre en silence, laissant les caprices danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habituation. C’était une souffle lente, une manie apparue d’un geste ancien répété à https://sergioqgqai.ttblogs.com/13889025/les-courbes-diminués

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