À rythmique que les marées se succédaient, le rythme du rocher changeait imperceptiblement. Ce qui n’était au début qu’un battement assidu devenait un nombre de pulsations asymétriques, comme si le rocher répondait à une portée mystérieuse plus qu’aux déplacements de l’océan. Le musicien enregistrait tout spectacle avec une précision mystérieuse, https://trentonkjezt.rimmablog.com/33327619/les-tambours-de-la-promontoire