Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient également avoir extraordinairement été les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le tête, apprécié par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces fabricants éphémères devenaient, n'importe quel matin, le fondement https://manuelpsttq.blog4youth.com/34746101/les-effluve-réfléchis