Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des sentiers battus par les sabots des chevaux et les pas des maraîchers, une féminitude vivait en retrait, à l’orée des propos. Sa maison, bâtie en pierre et de propos noyer, exhalait très une odeur d’herbes https://sergioynuaf.blogs-service.com/64434092/les-libidos-de-le-futur-et-de-la-voyance