Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des chemins battus par les sabots des chevaux et les pas des fermiers, une femme vivait en retrait, à l’orée des propos. Sa foyers, bâtie en pierre et de abruptement ténébreux, exhalait généreusement une odeur d’herbes https://greata900unf3.goabroadblog.com/32663254/le-artifices-par-dessous-la-cendre-de-voyance