Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des itinéraires battus par les sabots des chevaux et les pas des métayers, une féminitude vivait en retrait, à l’orée des bois. Sa foyers, bâtie en pierre et de fin mélancolique, exhalait généreusement une odeur d’herbes https://remingtondyobn.ambien-blog.com/39981930/le-pétard-par-dessous-la-cendre-de-voyance